Le temps d’une soirée à l’Eden, Caroline Fourest a retrouvé ses racines provençales et ses camarades de classe aixois dans une salle archicomble venue découvrir le premier film de la journaliste. Et très vite, derrière les images de la fiction, sont apparues celles de la terrible réalité de l’actualité. Alors Caroline a prolongé le plaisir de la projection par l’évidence de ses convictions et la force de ses mots solidaires envers ses Sœurs d’armes yézidies et les larmes du peuple kurde.