Son premier passage à l’Eden s’était effectué en 2008, alors que l’Eden n’était que ruines, et de sa plume enlevée il avait écrit la préface du livre destiné à attirer l’attention de tous sur l’incroyable destinée de la salle… « une promesse de bonheur, un paradis promis à heure fixe, un voyage de découverte d’une planète inconnue ». Aussi les retrouvailles de Jacques weber avec l’Eden désormais ressuscité ont-elles été marquées de la pensée du travail accompli : tel Cyrano, il aurait pu dire bien des choses en somme. Il a simplement dit son bonheur d’être dans « cette salle qui sent bon le bois et le velours » et comme Dom Juan « il faut faire et non pas dire ». L’Eden, c’est fait, merci Jacques.