« Un film de Laurent Cantet, réalisé par Robin Campillo » tel était l’intitulé de la présentation en avant-première d’ENZO dans un Eden archicomble lundi 26 mai. Cette formulation inhabituelle révélait la profonde amitié entre deux réalisateurs unis par-delà le deuil.
Avec beaucoup de retenue mais des mots empreints d’émotion, Robin Campillo a raconté le passage de relais naturel effectué entre les deux complices et qui a permis de construire un film où se joignent les textes de l’un et les images de l’autre.
Magnifique travail plein d’humanisme sur le « décrochage » de l’adolescence, dans le cadre lumineux de La Ciotat. Un film de Robin Campillo, rêvé par Laurent Cantet.
Avec beaucoup de retenue mais des mots empreints d’émotion, Robin Campillo a raconté le passage de relais naturel effectué entre les deux complices et qui a permis de construire un film où se joignent les textes de l’un et les images de l’autre.
Magnifique travail plein d’humanisme sur le « décrochage » de l’adolescence, dans le cadre lumineux de La Ciotat. Un film de Robin Campillo, rêvé par Laurent Cantet.
Photo Agathe Rescanières